Ma Boite à Moustique lève plus de 1 M€ pour renforcer sa R&D.

Le produit de Ma Boite à Moustique est mis en vente chez 150 installateurs répartis en France, et en 2025, l’entreprise lance son aventure internationale en ciblant prioritairement les pays voisins. 

« Face à l’expansion rapide du moustique en Europe, nous avons une ambition forte : concevoir pour vous tous des alternatives innovantes aux solutions traditionnelles, alliant performance, impact environnemental réduit et approche scientifique rigoureuse », expliquent Romain Tiberghien et Guillaume Lombart sur la page LinkedIn de Ma Boite à Moustique.

Source : Jaimelesstartups


Ma Boite à Moustique lève plus de 1 M€ pour renforcer sa R&D.

En 2021, Romain Tiberghien et Guillaume Lombart ont lancé à Balma (31) la startup Ma Boite à Moustique pour offrir une solution écologique visant à combattre les moustiques et s’intégrant harmonieusement à l’extérieur.

Quatre ans plus tard, alors que la startup a déjà réussi à générer un chiffre d’affaires dépassant les 2 M€ et a clôturé son premier exercice à l’équilibre, elle lève 1 025 000 €, ce qui va lui permettre de franchir une nouvelle étape :

  • développer son propre laboratoire en entomologie, dédié à l’étude des moustiques et aux tests en conditions réelles ;
  • recruter des entomologistes pour développer des solutions toujours plus performantes et durables ;
  • renforcer ses collaborations avec des centres de recherche influents, afin de consolider son expertise dans le domaine de l’entomologie appliquée.

Le piège mis au point par Ma Boite à Moustique, doté d’une technologie ayant fait l’objet d’un dépôt de brevet qui s’appuie sur des capteurs connectés et une carte électronique insérés dans le dispositif, est entièrement fabriqué en France : outre son siège à Balma, l’entreprise possède un site d’assemblage à Tullins, en Isère. D’autres partenaires y contribuent depuis Castres et la Lozère (ESAT A2FLS). Les circuits imprimés et une part des structures en acier époxy viennent d’une entreprise à Grenoble. Les housses protectrices des pièges sont produites par un atelier textile du Nord de la France, et le câblage est assuré par une équipe de 10 personnes dans l’atelier de réinsertion Passiflore, à Tullins. ...