Effet Papillon
Il est indéniable que le rapport de force économique entre Toulouse et Montpellier, a tourné à l'avantage de la Ville Rose, au moment de la fusion Languedoc-Roussillon et Midi-Pyrénées. Car Toulouse bénéficie de la manne du secteur aéronautique et de son éminent représentant Airbus.
Mais, alors que le secteur a toujours connu une systématique croissance du trafic aérien et du nombre de compagnies aériennes, à part un léger épisode nuageux avec le volcan imprononçable islandais, le COVID-19 annonce la première alerte rouge économique. Et quel impact sur la métropole toulousaine ?
Une analyse co-rédigée par des représentants locaux de Copernic, Attac, l'Université Populaire de Toulouse et des Amis du Monde Diplomatique a comparé Toulouse, dans ses hypothèses, au destin tragique de la capitale américaine de l'automobile déchue, Détroit.
Depuis, un véritable ping pong, à coups de tribunes plus ou moins documentées sur les perspectives de la monoindustrie toulousaine, éclairent les penseurs locaux, et peut-être vous ?
Un morceau choisi : "
Les multinationales, de tous secteurs, sont des structures « hors sol ». Et bien « innocent » celui qui s'y fierait pour penser un monde soutenable..."
Ces multiples échanges sont positifs pour Toulouse. Le pire aura été anticipé. Dommage pour Montpellier, qui aurait rêvé de reprendre le leadership sur sa cousine occitane !
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